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D.O. Ribeiro blanc: Abega Antonio Cajide Gulin "Sameiras 1040", 2016 **

2 Juillet 2018, 20:08 Espagne Ribeiro Abega Antonio Cajide Gulin

Observations : le 2 juillet 2017, presque 3 heures après ouverture sans passage en carafe.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nez:

 

 

 

 

 

 

A l’ouverture, le nez n’était guère communicatif. Rien ne transpirait. Tout a changé avec le temps. Le fruit est jaune et débordant de sucre et de gourmandise. Il est également exotique sous un fond miellé et caramélisé. Un profil séduisant et aguichant mais absolument pas putassier tant ces arômes restent dans une certaine forme de tenue. Comme j’ai pu le remarquer sur d’anciennes dégustations ; une température de service un peu fraîche favorise une forme de libération aromatique.

 

 

 

Au second nez, les senteurs prennent une autre tournure. Le fruit est dorénavant plutôt blanc et ponctué de touches d’agrumes. Aromatiquement plus subtil et discret mais renforçant ma conviction qualitative de cette appellation (sur les blancs essentiellement). L’intensité et la persistance aromatique sont presque bonnes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bouche :

 

 

 

 

 

 

L’attaque est grasse et relativement épaisse. Pas forcement ample mais dotée d’une concentration certaine ; le vin évite l’écueil de la lourdeur malgré une acidité des plus absentes. Le fruit n’est absolument pas présent ou tout du moins à des années lumières de l’impression olfactive laissée.

 

 

 

Le corps de bouche reste sur la même lignée. Le fruit rejaillit par à-coups ; parfois blanc ou plus souvent jaune comme le citron. L’acidité, que je guettais tant, ne viendra pas aujourd’hui. Il en résulte un vin en deçà des attentes. La matière a tendance à se ramollir. Simple à l’image des vins du domaine. L’intensité et la persistance gustatives sont moyennes.

 

 

 

Une fin de bouche qui manque de trempe. Impression fine saline qui n’a fait que décroître pour finalement disparaitre. Il n’en reste qu’une masse qui s’estompe trop vite sans laisser de souvenirs. Quelques souvenirs amers ou de caramel bien insuffisants.

 

 

 

 

 

 

 

 

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